Andropause : symptômes, diagnostics et solutions

Andropause : définition, âge, symptômes et mieux vivre

La majorité des veines profondes et du réseau veineux passe dans la masse musculaire. Les muscles stimulent ainsi la circulation sanguine et jouent un rôle clé. En revanche, prévenir l’andropause et limiter cette diminution hormonale est tout à fait possible.Il suffit d’agir sur plusieurs facteurs physiques et psychologiques. Vous l’aurez compris, le zinc est un nutriment jouant un rôle clé dans le maintien du taux de testostérone. Et donc de la prévention de l’andropause.Comme nous venons de le voir plus haut, les œufs, l’avocat et les huîtres sont des aliments riches en zinc. Avoir une bonne hygiène alimentaire et pratiquer une activité physique régulière permettent de contribuer à entretenir un corps sain, et donc un système immunitaire sain.

Un taux normal de testostérone est associé à la performance sexuelle, à la fonction reproductrice, à l’entretien de la masse musculaire et à la bonne pousse des cheveux. Elle préfère ainsi parler d’«hypogonadisme acquis de l’homme vieillissant», un terme moins accrocheur, certes, mais plus fidèle à la réalité médicale. Il est possible de réaliser un bilan hormonal en analysant le taux de testostérone dans le sang afin de reconnaître l’andropause. Etant donné que certains symptômes de l’andropause sont similaires à celui d’une dépression, un faible taux de testostérone peut-il provoquer une diarrhée ? (https://www.verletzten-kinderseelen-helfen.de) examen médical est le meilleur moyen d’être sûr de reconnaître l’andropause chez l’homme. Bien souvent de simples changements suffisent pour maintenir un taux de testostérone stable. En adoptant un mode de vie sain, le taux de testostérone sera susceptible de remonter, revenir à la normale et se stabiliser.

L’andropause ou “déficit androgénique lié à l’âge” désigne l’ensemble des symptômes physiologiques liés à la baisse anormale de sécrétion de testostérone chez l’homme, généralement à partir de 45 ans. L’andropause intervient en dehors de tout contexte pathologique pouvant expliquer la baisse de la sécrétion d’androgène. Elle altère la qualité de vie et a un impact sur la fonction de plusieurs organes. La testostérone est une hormone sexuelle produite par les testicules qui joue un rôle important dans le maintien de la santé sexuelle, la production de spermatozoïdes et la croissance musculaire et osseuse. Les hommes commencent à produire de la testostérone à la puberté, atteignant un point culminant vers l’âge de 20 ans.

Le corps médical a mis un jour qu’un symptôme de l’andropause peut être un cancer de la prostate ou un accident vasculaire cérébral. Au-delà du simple andropause symptôme, il s’agit donc d’une conséquence grave de l’andropause pour l’homme. Des effets secondaires qui peuvent, en effet, avoir des effets dramatiques. L’andropause se manifeste généralement autour des 40 ans, avec une diminution progressive et constante de testostérone, qui s’intensifie au-delà de 60 ans. Le déclin de la production hormonale est lié à l’âge et rien ne permet donc de prévenir la survenue de l’andropause.

La baisse de la libido et des troubles érectiles sont les premiers symptômes de l’andropause. Une fatigue intense accompagnée de sueurs nocturnes sont souvent ressenties, ce qui peut provoquer des troubles du sommeil. Une diminution de la masse musculaire, des douleurs articulaires et musculaires ainsi qu’une fragilité osseuse sont souvent évoquées. Il est à noter que des troubles de l’humeur peuvent affecter l’homme malade qui peut devenir plus irritable ou déprimé. Enfin une prise de poids est souvent remarquée notamment une augmentation de la graisse abdominale.

Une fatigue qui dure plusieurs semaines, un repli sur soi sans raison apparente ou des sautes d’humeur fréquentes indiquent souvent un déséquilibre à traiter. Ignorer ces signaux risque d’aggraver la situation ou de retarder la prise en charge. Il serait erroné de résumer ces difficultés à une simple question d’âge. L’impact hormonal est réel, avec des conséquences directes sur la circulation sanguine et la sensibilité des organes génitaux. Chez certains hommes, l’anxiété et les troubles émotionnels associés à l’andropause aggravent le problème, formant un cercle vicieux. Échanger avec un professionnel permet souvent de dédramatiser la situation et de trouver des solutions concrètes.

Vous donnez les clefs pour identifier un symptôme de l’andropause chez l’homme mais aussi tous les signes de l’andropause de façon générale. Néanmoins, la prise de testostérone est contre-indiquée en cas de cancer du sein ou de cancer de la prostate. Un traitement par testostérone demande un bilan prostatique au préalable avec, particulièrement, un dosage du PSA (antigène spécifique de la prostate) et une surveillance régulière.

La consommation de tabac et d’alcool participe à la réduction des taux de testostérone, en plus d’être des facteurs favorisant les troubles érectiles. Mieux gérer son stress et son anxiété via des techniques de relaxation (ou le sport) participe à l’amélioration du bien-être et à un métabolisme hormonal optimal. L’appellation « andropause » désigne un Déficit androgénique lié à l’âge (DALA).

Elle régule le désir sexuel aussi bien chez l’homme que chez la femme. Chez les hommes, elle joue un rôle dans la production du sperme, la pilosité, le timbre de la voix (grave), la masse musculaire, la masse osseuse, la répartition des graisses. L’andropause entraîne diverses conséquences chez l’homme comme la fatigue ou des troubles liés au sommeil ou encore des problèmes érectiles.

Lorsqu’il y a une baisse de la sécrétion de testostérone, le vieillissement naturel et l’élévation du taux de SHBG sont souvent en cause. En effet, l’augmentation de cette protéine a pour effet de retirer de la circulation sanguine la testostérone. Le Docteur Beley, médecin urologue à Paris mentionne que l’andropause s’accroît avec l’âge, et les symptômes physiologiques apparaissent généralement à partir de 45 ans. En effet, selon une étude, seulement 2 % des hommes âgés de 40 à 80 ans vivent une andropause (source). Cela représente 3 % chez les hommes de 60 à 69 ans et 5 % chez les hommes de 70 à 79 ans.